Patrick Boussignac : un défi à la persistance du mythe.
En art, la tentation de l’imaginaire suppose-t-elle la mort du mythe ?
Point de vue intéressant ! La tentation du fantastique dans l’art pourrait être considérée comme un défi à la persistance du mythe. L’imagination ouvre de nouveaux mondes et permet aux artistes de créer leurs propres histoires et images qui ne sont pas nécessairement liées aux mythes existants.
D’une certaine manière, on pourrait affirmer que la domination du fantastique dans l’art remet en question les vieux mythes et crée de nouveaux récits. D’un autre côté, les mythes et légendes modernes peuvent également se développer à partir de la fantaisie. Les éléments fantastiques peuvent conduire à de nouveaux symboles et mythologies dans les histoires contemporaines.
C’est un fascinant exercice d’équilibre entre la préservation des mythes traditionnels et la création de nouveaux récits imaginatifs. Peut-être s’agit-il aussi d’une forme d’évolution dans laquelle l’art ne tue pas le mythe, mais le transforme et l’adapte à des contextes culturels changeants.
Qu’en pensez-vous ? Commençons le débat !
Les oeuvres suivantes sont de Patrick Boussignac.
Une oeuvre exceptionnelle de Patrick Boussignac.
« Le sacre du Printemps » (the Moscow. collection).
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« L’automne »
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« The no return island ( l’île sans retour) »
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« La Funambule »
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« Les sorcières de la nuit. » C’est ainsi que durant la 2ème guerre mondiale les troupes hitlériennes surnommaient ces femmes pilotes qui, au péril de leur vie, et volant sur des coucous et harcelaient les troupes nazies en leur balançant des grenades à main.
2 Commentaires
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Je lis les actualités de votre galerie d’art depuis quelques mois. Vous avez ôté vos parutions en russe pour prendre fait et cause pour l’Ukraine : pays souverain militairement attaqué par le président Vladimir Poutine. Je suis donc surpris de voir que vous accueillez cet artiste Patrick Boussignac dont les activités dans le réseau social facebook comportent régulièrement des tentatives de justifier la politique liberticide du kremlin. Contradiction de votre part ? Cordialement.
Bonjour, Choiseul.
Comme vous l’avez si bien signalé, notre galerie d’Art en ligne – entité artistique & vivante – a pris fait & cause contre l’actuel président de la fédération de Russie. Non contre le peuple russe.
L’artiste Patrick Boussignac a été accueilli dans notre galerie d’Art au titre de son œuvre, esthétique par excellence, plastiquement qualitative, dans laquelle les professionnels qu’Artémis Irenäus & moi sommes ne détectons pas la moindre source qui puisse pousser à censure. A vrai dire, nous adorons son univers poétique.
Si nous devions commencer à refuser un(e) artiste consécutivement à ses idées personnelles – qu’ici il (elle) ne manifeste pas -, il nous faudrait par exemple rejeter Caravaggio (son agressivité), Picasso (son amitié pour Maurice Thorez en URSS), Virginia Woolf (son antisémitisme), Céline (sa collaboration active avec le régime de Vichy), mais aussi Paul Eluard, Aragon & combien d’autres de nos littéraires, cinéastes, comédiens, chefs d’orchestres… Ne ferions-nous pas dès lors le jeu de l’autoritarisme ?
A vous lire.
Philippe.