Un automne assez prometteur pour l’Art !
L’année 2021 n’est pas finie, mais nous pouvons déjà profiter de ce mois de novembre pour échafauder un espoir.
Soyons honnêtes, cette nouvelle années Covid n’a pas été facile pour les galeries d’Art comme la nôtre. Outre en Suisse, les confinements décidés par les autorités sanitaires françaises, allemandes, espagnoles (ne parlons pas de la Russie qui demeure à ce jour encore inaccessible) ont évidemment limité voire annulé les visites des ateliers d’artistes, nous ne disposions pas des ressources d’une FIAC virtuelle capable d’organiser des parcours artistiques y compris en mandarin par l’application Zoom !
Il a donc été assez difficile à notre galerie en ligne de poursuivre son principal travail de mise en relation des artistes plasticiens avec les collectionneurs/acheteurs.
Soleil à l’horizon ?
En fin d’été, début d’automne, Artémis Irenäus et moi suivions une triangulation partant du salon Art Paris début septembre, pour aller au Parcours Art Basel mi-septembre à la découverte de la cour intérieure du Antikenmuseum Basel, et revenir à Paris en octobre voir la 47e édition de la FIAC, annulée l’années précédente par sa directrice Jennifer Flayet.
Les deux salons parisiens – qui se tenaient au Grand Palais Ephémère – complétaient (enfin !) le retour des galeries d’Art physiques, internationales, et celui des visiteurs, mêmes masqués, mêmes très majoritairement européens.
Nous croisions à Art Paris quelques références suisses comme la neuchâteloise Ditesheim & Maffei avec laquelle le dialogue fut plus qu’intéressant. Et si la majorité des oeuvres proposées dans ces salons prestigieux s’adressent d’abord aux institutions capables de les acquérir tant en matière d’espace d’exposition que de prix, le marché de l’Art nous apparait petit à petit revenir – renaître ? – dans son entièreté.
La galerie d’Art en ligne Les Koronin est un organisme figurant sur ce qu’Artémis Irenäus et moi nous permettons de nommer le « 2ème marché », à savoir un marché constitué d’œuvres directement acquises auprès de nos artistes et qui partent dans l’intimité de « vrais gens », souvent au-dessus d’un canapé.
Espérons que cette embellie perdure, mais à voir les statistiques sanitaires en Suisse et dans une partie de l’Europe voire du monde, rien n’est moins sûr.
Artémis Irenäus lors d’un vernissage.
0 commentaires