De la part de Fabian Caro
Fabian Caro, notre artiste sud-américain discute beaucoup avec Artémis Irenäus (équipe suisse de la galerie en ligne) et leurs échanges donne lieu à la publication prolifique de l’univers plastique de Fabian. Evidemment, un artiste aussi productif que Fabian Caro est un régal pour une galerie d’Art, fut-elle en ligne.
Voici publié ci-dessous un texte rédigé par notre artiste, Artémis Irenäus & moi avons le plaisir de le soumettre à votre attention esthétique.
Les derniers dessins, les dernières sculptures de Fabian Caro, son univers, sont à apprécier dans sa page. Suivez le lien…
“Voyage plastique et littéraire : de l’argile au cyborg”
Nous assistons depuis longtemps à l’infinie surprise de l’œuvre artistique et du travail établi de Fabián Caro; forer dans des techniques mixtes. La fête mystique de son art iconoclaste persiste dans ce mélange provocateur comme ethos postmoderne véhément dans la rencontre euphorique dans les racines littéraires. Chaque personnage, chaque muse apporte des vestiges de mondes de rêve de la littérature. La rencontre, la collision sidérale entre les lettres et les arts plastiques est largement brunie dans les peintures, sculptures et dessins. Le stylo gréco-romain est présent dans ce flashback, le trafic s’aventurant entre le passé et l’avenir en particulier dans la série Winds. Gladiateur, Vulcain; là, il nous illustre en masse avec des personnages hallucinants dépourvus de temporalité précise. Il se profile aussi, dans des métaphores plastiques tartare de Dante, magnifiquement incarné dans les sculptures comme grimace de l’horreur des paysages infernal, des êtres délirants condamnés à ces profondeurs de l’hiver.
Le Decamerón émerge avec ses femmes métamorphosées, sensuelles, gothiques et provocantes dans la série Musas. Les nymphes dystopiques frémit et déforment le plaisir du spectateur avec des subjectivités érotiques. L’artiste exprime, donne, des émotions délabrées débordant dans une aile, un cri gothique surréaliste à travers la série, Gargouille, Arlequin.
L’irrévérence, le blasphème a aussi un coup de tête au septième art; Surprend magnifiquement l’œil perforé dans l’histoire du cinéma, à travers la série Le Gardien comme un salut latéral à George Milies, créant de nouvelles réalités, épiphanies corporelles, désavantagé de la lune l’automate articulé exprimé en céramique et argile émaillée.
L’engagement intempesant et libre envers les racines a aussi son espace dans l’imagerie plastique de l’auteur, évoquant la dignité ancestrale des séries Cacique et Toqui. L’universalité de l’espèce; cette rencontre interspatiale dans le temps, les cultures, les mouvements, les courants sont nichés majestueux pour nous toucher à chaque instant avec la lumière métaphysique causée par la visite de leur créativité plastique infinie,
Prof. JUPITER MENDOZA
Bibliothèque documentaire, enseignement supérieur académique et poète muraliste.