Le métier de forgeron. 

Le titre de notre article pourrait rappeler le vieux film anglo-américain « La rose et la flèche » de Richard Lester, sorti en 1976.

La forge est un métier fascinant qui existe depuis des siècles. Elle allie compétence, créativité et force pour transformer le métal en de superbes œuvres d’art en le chauffant et en le façonnant. Historiquement, la forge a joué un rôle crucial dans la production d’armes, d’outils et d’éléments architecturaux.

Dans le contexte actuel, la forge d’Eric Jarque Dzyan est considérée comme un métier. De nombreux forgerons créent des pièces uniques telles que des sculptures, des meubles, des bijoux et des éléments décoratifs. C’est une forme d’art qui peut intégrer à la fois des techniques traditionnelles et des designs modernes. Le caractère artisanal de la forge rend chaque pièce unique et lui confère une qualité artistique particulière.

Qu’il s’agisse d’un artisanat préservé ou d’une forme d’art contemporain, la forge reste une forme d’expression impressionnante et un hommage à l’artisanat.
Avez-vous une expérience personnelle ou un intérêt pour la forge?

Vous souhaitez acheter une œuvre d’Eric Jarque Dzyan? Ou prendre contact avec notre artiste ?
Ecrivez-nous (à  Artémis Irenäus), nous vous mettrons en relation avec lui.

2 Commentaires

  1. Sylouia

    Walkyrie arrivée au Walaha,seule,
    redécouverte du sens des runes,
    mise en garde et coup de pieds au cul spirituel,interdiction d’y séjourner puisque c’est pour uniquement les guerriers,
    Retour donc vivante,vers le nirvana au coeur,la rune de la
    persévérance pour parcourir encore les épreuves de la vie
    avec réussite
    L’artiste DZYAN est un grand homme accompli ,un homme humain et spirituel,il a toujours était ,est et sera ,il se connait brillamment,il est un vivant mythologie,un dieu sur terre.
    Un authentique guerrier pacifiste qui a trouvé la paix sur terre
    Il est inspiré des mers et des cieux,dans ses veines coule les lames de fond, profondeur,et son jardin se nomme rose

    Réponse
    • Philippe Morin

      Merci pour ce beau commentaire dont nous goûtons chaque mot.
      La galerie d’Art apprécie beaucoup Dzyan, l’un de nos premiers artistes, toujours présent, attendu dans ces dernières créations. La poésie de Dzyan ne s’explique pas, elle s’exprime.
      Et sur la table d’un bureau, dans une bibliothèque grisonne datée de 1836, elle se dresse sur sa tige. Il n’y a pas de corridors sombres dans l’expression de Dzyan.

      Artémis Irenäus & Philippe

      Réponse

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